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Economie - Page 5

  • Exclusif ! Mort de l'Euro: "BanquAr m'a tuer…"

    Ce titre volontairement provocateur rappelle une affaire criminelle sordide. Et le devenir de l'€uro l'est tout autant.

     

    1 — BanquAr ?

    Banquiers et grands Argentiers (les ministres des finances) de la zone Euro, emmenés par leur chef, le sinistre Juncker, ministre des finances luxembourgeois de son état, grand donneur de leçons d'un mini-état. Il est le président de l'Eurogroupe, oligarchie technocratique supranationale. Rien n'est plus détestable à ses membres que l'esprit de Nation et toute manifestation de cet esprit telle qu'une monnaie nationale.

     

    2 — L'activité traditionnelle des banques

    De façon très générale, il existe deux "métiers" dans la banque : la banque de dépôt et la banque d'affaires. Ces deux activités ont été longtemps séparées et les risques liés à l'une des deux branches n'affectaient que rarement l'autre.

    Mais depuis la mise en place de l'Euro — avec l'abandon par les banques nationales au secteur privé de la quasi-totalité de la création monétaire au travers du crédit — les banques privées ont regroupé les secteurs dépôts et affaires lorsqu'ils préexistaient, ou on développé celui qui manquait dans leur offre. C'était une volonté affichée de la Commission Européenne : la concurrence la plus large entre tous les types d'établissements financiers sur tous les produits (grand public, spécialisés, à risque, garantis, dérivés, etc.)

    Les erreurs de la finance des affaires peuvent alors impacter sévèrement la finance des particuliers et réciproquement.

     

    3 — Retour sur la physique quantique 

    Dans leur activité de dépôt, les banques rémunéraient les fonds apportés par leurs déposants et faisaient payer les fonds prêtés aux empruntants. Assujetties à des règles dites "prudentielles" (destinées à garantir aux clients déposants la liquidité de leur avoirs), les banques devaient trouver leur rentabilité entre les différences de taux servis ou prélevés. Dans le domaine de la banque d'affaires, des règles analogues s'appliquaient garantissant la solidité des établissements et s'assurant de la viabilité des projets soumis.

    Dans tous les cas, des titres de créance s'échangeaient sur différents marchés. Ces titres étaient parfois regroupés pour créer des produits bancaires plus importants, mais ils n'étaient que très rarement découpés en quantités de plus en plus petites.

    La crise dite des "subprimes" a révélé au grand jour les pratiques irresponsables des établissements financiers. Pour diminuer le risque apparent des contrats les plus douteux, ils les ont divisés. Plus précisément, ils les ont "micronisés", voire même "piconisés". Et ces particules infiniment petites, ces quantas de contrat ultra-risqués ont été artificiellement agrégés à d'autres parties de contrats eux-mêmes moins risqués, moins pourris. Et pour finir, ces contrats achetés et revendus entre "copains" l'étaient le plus souvent de façon partielle sous forme de titres plutôt que comme des contrats entiers. C'est le phénomène de "titrisation".

    Comme dans la physique quantique, en franchissant une certaine barrière d'échelle, on a rendu les risques invisibles.

    Invisibles, mais pas inexistants! Et surtout, on a créé une incertitude fondamentale.

    En physique quantique — dont je précise que je ne suis pas un spécialiste mais dont j'ai des notions générales — le principe d'indétermination d'Eisenberg affirme que l'on ne peut connaître en même temps précisément la position et la quantité de mouvement d'une particule, d'un quanta. On ne peut qu'évaluer des probabilités de trajectoires, donc un passé flou, un futur incertain et un présent voilé.

     

    4 — Principe d'incertitude de BanquAr

    La situation est la même pour les établissements financiers. En ayant divisé à l'infini les contrats à risques pour les intégrer à d'autres contrats plus "sains", ils ont créé la même incertitude qu'en physique quantique : on ne peut plus connaître précisément en même temps la quantité de risque et son échéance.

    Comme conséquence de ce qui précède, on ne peut plus effectuer une "traçabilité" des contrats pourris dans le passé, ni espérer assainir le futur en les isolant et en en extirpant les parties à hauts risques.

     

     5 — Résultat

     Cette incertitude a une conséquence de taille : le doute.

    Les valeurs de cours traduisent la projection dans le futur des acteurs de marché, donc leur anticipation du niveau de risque.

    Pour les créances d'Etat, les fameuses "dettes souveraines", ce sont les agences de notation, aujourd'hui fort décriées, qui prétendent prédire la solvabilité future de l'Etat en question, donc le degré de risque pris en lui prêtant et donc en finale le taux d'intérêt à appliquer pour couvrir le risque.

    Bien évidemment, tous ces phénomènes décrits sur les supports de base sont amplifiés de façon spectaculaire sur les produits dérivés que ces mêmes établissements financiers proposent sur les marchés.

    C'est en réaction à ce doute sur les produits toxiques "subprimes" que la crise financière est partie des USA et s'est propagée au monde entier au gré des quantas de contrats pourris découverts dans des contrats apparemment sains. En grippant la confiance des banques entre elles, la création monétaire par l'attribution de crédits s'est tarie et la crise de financière est devenue économique.

    Les banques fragilisées ont accru en réaction leur "volatilité" sur les taux de crédit quand il y avait crédit. Les crédits "subprimes", basés sur le taux directeur de 0% de la FED ont concerné des dizaines de milliers de personnes, mais ils sont sans commune mesure avec les crédits accordés aux Etats par le secteur financier privé au travers des obligations d'Etat et autres titres "souverains" d'Etats qui ne le sont plus.

    La Grèce, pays le moins "vertueux" — entendez le moins aligné sur le modèle Allemand — de la zone Euro a été vite mis sur la sellette par les "grands inquisiteurs" que sont les agences de notation.

    Mais si on peut déclarer un ménage (noir américain de préférence) insolvable et le saisir de tous ses biens, si l'on peut mettre en faillite une entreprise (petite et familiale de préférence) en acculant son propriétaire au suicide et ses employés au chômage, on peut difficilement admettre un "défaut" d'un pays, encore moins s'il est membre de la zone Euro et censé être protégé par celle-ci. Tout sera donc fait pour éviter un tel défaut, quel qu'en soit le prix!

     

    6 — En conclusion

    Or la Grèce, avec ou sans ses "tares" de base, est rendue incapable de se corriger de par la nature même de l'Euro et du mandat de la BCE.

    Que l'on décide en une seule nuit d'affecter au remboursement des créanciers de la Grèce le montant économisé sur le système des retraites après trois années de négociations acharnées, montre à quel degré d'aveuglement et d'inquiétude nos gouvernants et leurs complices socialistes sont arrivés.

    Que les Grecs, contraints et forcés, n'ayant plus rien à brader, vendent leurs îles aux députés allemands ne changera rien si rien ne change dans la structure de la monnaie unique. J'aurais même pu écrire inique…

    En cette période de Tour de France, nul doute que BanquAr et son complice le sinistre Juncker visent le maillot jaune : hélas pour nous pas le jaune de la victoire, mais celui de la honte.

    En ce qui concerne la France, la question n'est plus de savoir si nous quitterons l'Euro mais quand, …c'est-à-dire avant ou après l'Italie.

  • Une erreur de représentation

     

    L'autre soir, Elie COHEN, "économiste PAA" (patenté, agréé et autorisé), intervenait sur France 2 dans le journal de 20 heures. Précisément dans sa première partie, celle de plus grande écoute. Il y était pour faire passer, pour rabâcher devrais-je dire, la version officielle :

    La Grèce rechute. Ce n'est pas grave, c'est qu'il n'y a pas "assez d'Europe", pas assez de politique européenne coordonnée.

    Certes il faudra remettre la main au porte-feuille pour la modique somme de… 110 Milliards d'Euros — excusez du peu ! — ce qui représente 11 millions de voitures à 10.000€ pièce. Onze millions de voitures que Monsieur Tout-le-Monde a déjà du mal à se payer et pour lesquelles on, pardon pas "on", les banques, ces voyous en cols blancs, demandent des garanties draconiennes.

    Mais la cerise sur le gâteau : 

    Il faudra prévoir dès à présent de "restructurer" la dette Grecque, toute la dette Grecque.

    Entendez — vous qui êtes des ignares, des incultes, des mal embouchés — entendez donc : il faudra prévoir de "vous asseoir dessus !"

    Non mais vous vous imaginez, vous, 11 millions de débiteurs à 10.000€ pièce qui ne peuvent rembourser leurs banques ! Vous imaginez le tollé, les procès fleuves et les saisies par voie de justice !

    Et bien, ça ne les gêne pas plus que ça ces "messieurs de la politique, de la finance et de l'économie".

     

    Le piège

    Alors, si on écoute attentivement le discours bien huilé d'Elie COHEN et de ses pairs PAA (voir ci-dessus), ils ont raison : il faut résoudre la crise grecque, il faut bien l'aider, la soigner et même la mettre sous perfusion. Mais vous pouvez donner toute l'aspirine du monde à un fiévreux, vous ne le guérirez pas si vous ne supprimez pas la cause de sa fièvre.

    En aviation, dans le domaine dit des "facteurs humains", mais c'est évidemment applicable à tous les autres domaines de la Société, ils commettent tous ce que nous appelons une erreur de représentation.

    Vous faites tout bien, mais pas dans le bon contexte. Vous avez appris par coeur votre texte et vous le récitez à la perfection, mais vous n'êtes pas dans le bon théâtre sur la bonne scène avec les bons partenaires. Vous avez bien pris le maillot de bain, la planche de surf et la crème solaire pour les enfants, mais le train va dans les Alpes et en hiver !

    L'erreur de représentation en aviation est celle que nous jugeons comme la plus dangereuse de toutes. Justement parce que l'équipage fait "tout bien" mais pas dans le bon contexte, ce qui amène forcément à l'accident majeur.

    Sortir d'une erreur de représentation est très difficile car l'analyse est presque impossible sans aide extérieure. Le seul moyen pour y parvenir est d'être capable de prendre du recul sur les événements et de le vouloir. Plus les choses se précipitent et moins vous pouvez le faire.

    J'ai dit "sans aide extérieure" car le moyen le plus simple est justement celui de l'aide extérieure. Celui de la personne qui vous tire du mauvais rêve, de la pièce infernale.

     

    Les avertissements extérieurs

    C'est ce que tentent de faire Nicolas DUPONT-AIGNAN et les membres actifs de son mouvement Debout La République.

    Depuis près de vingt ans maintenant (1992 avec Philippe SEGUIN), il affirme haut et fort que la construction européenne depuis Maastricht, la création de l'espace Schengen, la création de la monnaie inique (le Mark unique [N.D.L.R.]), le traité des dictateurs (traité de Lisbonne malgré le non massif à 55% au référendum) marche sur la tête et va à l'encontre de la noble idée ayant présidée à sa construction : apporter la paix à cette région du monde tant meurtrie par les guerres.

    J'ai d'ailleurs tenté de montrer cela dans mes précédents billets.

    L'Europe de la démesure, confiée à des institutions non élues donc illégitimes, sa monnaie unique l'Euro, tarée de naissance en interdisant aux Etats-Nations toute intervention sur le niveau et sur la structure de leurs dettes, vont nous conduire au chaos. Cette Europe qui ne voulait plus revoir les "larmes et le sang" est en train de s'en gorger.

    Aucune des élites qui nous gouvernent, aucun de leurs économistes PAA, ne veulent le voir et l'entendre. Ils sont sourds et aveugles aux avertissements des "extérieurs" qui auraient pu les sauver. 

     

    De la Responsabilité à la Culpabilité

    "Responsables mais pas Coupables". Ca vous rappelle quelque chose, ce scandale dit "du sang contaminé" ?

    Et bien je suis prêt à parier qu'ils nous referont tous le même coup ! Et pourtant, j'affirme qu'ils seront coupables. Parce qu'ils auront été dûment prévenus, avertis, informés. Mais il est tellement plus simple de nous traiter de Cassandre et de populistes !

     

    "To be or not to be" — le chaos ou l'apaisement

    Ce titre de la pièce de William Shakespeare pose le problème de la survie même de l'idée de l'Europe. Je dis bien de l'idée de l'Europe, car l'Europe physique et sa monnaie telles qu'elles sont conçues sont mortes.

    Devant nous il y a le grand précipice. Nous sommes face à un choix existentiel :

    • Continuer d'avancer à petits pas, tels les moutons de Panurge, guidés par nos élites sourdes et aveugles. Plonger dans cet abîme et pour ceux qui survivront, s'il y en a, parmi les morts et les invalides, recréer une société plus humaine.

    • Changer d'envergure, déployer nos ailes et planer au-dessus du précipice pour atterrir en douceur. Prendre conscience de l'erreur de représentation, changer de décor et de scénario en montrant aux autres que c'est possible. L'Histoire de notre pays nous apprend que la place de la France dans le monde est précisément due à cette capacité à proposer autre chose.

     

    Lors des prochaines élections présidentielle et législatives, vous aurez le choix :

    • entre ceux qui vous endorment par une fausse alternance (UMP, PS), ceux qui avancent masqués (les "Verts" faux écologistes mais vrais extrémistes), ceux qui n'aspirent à gouverner qu'au fond du précipice (le FN et l'extrême-gauche du NPA à LO-LCR en passant par le Front de Gauche et le Parti des Travailleurs) — tous ceux-là vous proposent la première solution,

    • et entre ceux qui vous proposent la seconde solution : Debout La République — son candidat à l'élection présidentielle : Nicolas DUPONT-AIGNAN et les (futurs) candidats aux élections législatives.
  • La politique "quantique"

    Je viens de terminer un ouvrage passionnant de Jean STAUNE "Notre existence a-t-elle un sens ? : Une enquête scientifique et philosophique" Ed. Presses de la Renaissance.
    Jean STAUNE est un philosophe des sciences. Comme il est un excellent vulgarisateur, il donne une compréhension aisée et un accès simple à des savoirs très compliqués, tels que la physique quantique.

    La physique quantique, en s'intéressant au comportement des particules élémentaires, semble montrer (et démontrer) que le monde "réel" que nous connaissons est plutôt "voilé" (B. d'Espagnat), qu'il comporte des principes d'incertitude (W. Eisenberg) et d'incomplétude (K. Gödel) et que les notions d'espace (A. Aspect) et de temps (J.A. Wheeler) sont remises en question.

    Les physiciens du détail, des particules élémentaires, utilisent des outils mathématiques et des concepts physiques inaccessibles au commun des mortels. Et les physiciens-mathématiciens-philosophes comme Jean STAUNE, qui comprennent ces concepts, les traduisent, en font une synthèse rigoureuse et permettent aux "lambda" comme moi de comprendre.

    Ce qu'il a fait dans son livre, est ce que nous sommes tous en droit d'attendre de nos politiques :

    expliquer simplement, sans formules alambiquées, la politique qu'ils entendent mener, les résultats qu'ils en espèrent et sous quels délais.

    Pour réussir cela — expliquer simplement les choses aux citoyens pour que les électeurs leur accordent la confiance dans la durée — ils doivent avoir un socle inébranlable de valeurs, de principes éthiques qui (re)donnera à la Politique des fondations solides.

     

    Mais c'est tout le contraire qui se passe ! 

    • Là où les responsables politiques devraient vulgariser leurs choix et leurs actions, ils les rendent complexes et non compréhensibles par les gens. Comme si une politique pragmatique et populaire, voire même populiste, était trop simple et donc desservait l'image qu'ils veulent donner d'eux-mêmes : celle du sauveur seul capable de faire face à la tâche immense !

    • Là où leurs subordonnés devraient régler la complexité des détails entre spécialistes, ils se lancent souvent dans des explications confuses à destination du public. Le font-ils sur demande de leurs responsables ou de leur propre initiative ? Je ne saurais dire.

    Je fais donc personnellement le choix du pragmatisme et du… populisme politique, un terme banni par la pensée unique qui pourtant ne devrait être ni péjoratif ni honteux. Au contraire !

    • Sortir l'Euro de notre politique économique et remettre en circulation le Franc pour retrouver des marges de manoeuvre et relancer la croissance.
    • Retrouver une Banque Centrale digne de ce nom. Redonner à cette Banque Centrale la primauté d'une création monétaire raisonnée et par là-même limiter la création monétaire sauvage et débridée qui avait été accordée aux seules banques privées.
    • Séparer dans leurs activités celles de banque d'affaires et de banque de détail.
    • Réglementer les prix de détail de certaines denrées alimentaires ou de première nécessité (tout au moins pour une période de stabilisation de la parité du Franc sur les marchés internationaux).
      Leur liste reste à établir, mais elle doit comporter au minimum : la baguette; le lait; les oeufs; un lipide de cuisson; une variété définie en pâtes, riz, farine et pommes de terre; un ou deux type de fruits; un volume donné de consommation énergétique (électricité, gaz et fioul domestique); les carburants automobiles.
    • Augmenter de façon très significative les budgets des ministères traitant de la sécurité au sens large : Intérieur, Défense et Justice.
    • Rétablir les contrôles aux frontières en rappelant qu'une frontière n'est pas un blindage infranchissable mais au contraire une "peau" qui fonctionne comme un filtre perméable mais sélectif.
    • Instaurer une TVA sociale ou, quel que soit son nom, une taxe de compensation des différentiels de charges sociales.
    • Favoriser le patriotisme économique européen et national.

    Et pour pouvoir mettre sereinement en application les mesures de la liste non exhaustive ci-dessus, une mesure phare essentielle :

    • Avoir recours au référendum pour chaque grande catégorie de décisions de façon à permettre aux opposants de s'exprimer, mais aussi en cas de vote positif pour garantir une plus grande efficacité en limitant le pouvoir de nuisance de l'opposition.


    Nous n'avons pas besoin de "politiciens quantiques", nous n'avons pas besoin de dirigeants européens non élus et donneurs de leçons (J. Barroso), nous n'avons pas besoin d'un président de l'Eurogroupe (J.C. Junker) plus soucieux du bien-être des banques luxembourgeoises que de celui des peuples européens, nous n'avons pas besoin d'un Président du Conseil de l'U.E. potiche (H. Van Rompuy), nous n'avons pas besoin d'un Ministre des Affaires Etrangères et de la politique de Sécurité de l'U.E. (C.M. Ashton) qui préconise la libre entrée des réfugiés libyens et tunisiens !

    Nous n'avons pas besoin de dirigeants (N. Sarkozy, F. Fillon et son gouvernement) qui prétendent instaurer une rupture salutaire et qui, sitôt élus ou en fonction, donnent des gages de bonne conduite à l'Allemagne — la première visite du nouveau Président de la République en 2007 a été pour A. Merkel — aux barons européens ci-dessus et à la finance mondiale.

    Nous avons tout bonnement besoin de gens pragmatiques, honnêtes, simples, proches des gens, proches de leurs préoccupations de tous les jours : populistes et populaires !

    Ces représentants du peuple doivent évidemment être élus. Les gouvernants auxquels ils apportent leur légitimité politique et leur soutien n'ont pas besoin d'être des spécialistes pointus — pour les questions techniques et précises, les administrations disposent d'experts divers et variés — ils doivent avoir la tête dans les étoiles, les pieds dans la terre et la foi dans leur coeur.

     

    Ce sera le caractère déterminant de mon choix pour l'élection présidentielle.

    Ce sera le coeur de mes propositions pour la campagne des élections législatives.