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Coup de gueule !

Petits jeux de chaises musicales pour garnements de l’Union Européenne

Après la pantalonnade de la désignation du président de la commission européenne, Martin JUNCKER[1] a été préféré à Jean-Claude SCHULTZ1 à moins que ce ne soit l’inverse tant ils sont interchangeables — comment en effet différencier deux technocrates grisâtres, copains comme cochons ? — en contrepartie, Jean-Claude SCHULTZ1 a obtenu la « récompense » de conserver la présidence du parlement européen, inutile antichambre d’enregistrement.

Et maintenant, tous les autres intriguent, qui pour être nommé commissaire, qui pour avoir tel poste (je ne parle pas de… responsabilités).

 

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Pendant ce temps-là, tandis que les euro-béats qui n’ont décidément pas grandi tant leur croissance est nulle — je m’interroge même pour savoir s’ils ne rapetissent pas du fait de la « croissance négative » — pendant ce temps-là donc, on tue tranquillement dans notre belle Europe et à sa porte. Alors qu’une union digne de ce nom aurait dû affirmer sa voix pour protéger ses enfants et ceux de ses voisins, on compte les points du dernier tir aux pigeons à la mode missile ou roquettes.

 

Que voulez-vous, c’est comme ça dans ce « mariage pour tous » qu’est devenue l’Union Européenne. Pas d’unité, pas d’autorité, une absence totale incompréhensible, inadmissible, insupportable de nos « représentants » face aux guerres diverses et variées.

 

« L’Union Européenne est essentielle pour la Paix ! » (Il paraîtrait même qu’on lui a donné — c’est bien le mot — un prix Nobel pour cela).

 

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Non l’UE de ces vers gris n’est pas capable de garantir la Paix ! Quelle honte de leur avoir une fois encore fait confiance ! Quelle erreur de ne pas avoir pris conscience de leur incompétence crasse ! Quel dommage que la tempête eurosceptique ne se soit pas levée à temps !

 

Et quand je pense qu’une des toutes premières déclarations de Jean-Claude JUNCKER, rétabli dans ses nom et prénom afin qu’il n’y ait pas de confusion, a été récemment je cite : « Je n’aime pas trop l’industrie de l’armement… » !

 

Pas de doutes, on est bien partis avec ces pieds-nickelés. Mais pour arriver où ?



[1] Les lecteurs avisés rectifieront d’eux-mêmes, c’est de toutes façons sans importance.

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