Hier soir, dans l'émission de Canal + 'Le Grand Journal', Michel DENISOT l'animateur et son complice Jean-Michel APATHIE ont révélé leur vrai visage lors de l'intervention de Nicolas DUPONT-AIGNAN. Les masques sont tombés !
Ils se prétendent "journalistes" ? Ce ne sont que de piètres bouffons !
Au sens médiéval du terme. Médiéval ? Je devrais plutôt écrire archaïque pour que M. DENISOT comprenne. Médiéval, il faudrait avoir quelques connaissances pour le comprendre.
Les bouffons du roi, lors des banquets, amusaient la galerie en usant de pirouettes physiques et verbales. Souvent, sur commande ou par complaisance servile, ils raillaient certains invités qui dès lors savaient qu'ils n'étaient plus en grâce. Sous couvert d'amusement, les messages les plus menaçants étaient délivrés.
Certains de ces bouffons, parfois mais ils n'étaient pas les plus nombreux, prenaient des risques physiques lorsqu'ils osaient se moquer du seigneur lui-même. Par l'ironie et la fable, ils critiquaient la politique. C'est précisément ce côté "risqué" de leur activité qui leur donnait de la noblesse.
Précurseurs de la littérature critique d'un Jean de LA FONTAINE à travers ses fables, ils étaient aussi d'une certaine façon les ancêtres des journalistes polémistes ou satiriques actuels.
Hier soir, qu'avons-nous vu ?
Des critiques affirmées sans être établies (APATHIE), des tentatives — gentilles — de déstabilisation (la météo de Solweig), rien que de très courant dans ce genre d'émission dont le format mêle politiques et "pipoles".
Mais à la toute fin de l'entrevue, sans que Nicolas DUPONT-AIGNAN ne puisse répondre, DENISOT, pâle amuseur et mauvais joueur, a affirmé: "le retour au Franc serait comme le retour à la télé en noir et blanc" et puisqu'on est dans l'audio-visuel, le réalisateur a renforcé l'effet en passant effectivement à la diffusion en noir et blanc — ce qui montre en plus que cette sortie était prévue, préméditée.
Se comportant comme les chiens de garde du système UMPS qu'ils font semblant de dénoncer, MM. DENISOT, APATHIE, le réalisateur de l'émission et la chaîne Canal + ont fait honte à la profession de journaliste.
Journalistes ? Que nenni ! Ce sont des bouffons ! Bouffons ? Foutrecuistre, finalement pas car ils n'ont pas le courage — mot courtois pour éviter celui qui commence par la même syllabe et se termine par 'illes' — nécessaire.
Ni journalistes, ni bouffons : ils ne sont que des laquais !
Mais il est vrai qu'il n'y a pas de sôt métier…
Commentaires
Bonsoir, j'ai regardé l'émission hier soir, 18/01/2012. L'attitude de M. Denisot m'a de suite frappé. J'ai d'ailleurs posté immédiatement sur la page Facebook du grand journal, interrogeant si j'étais le seul à trouver le journaliste insupportable.
Sans surprise, ce sont ensuite des dizaines et des dizaines d'internautes qui ont manifestés de la même manière, leur mécontentement, devant un Denisot méprisant, au flagrant parti pris, bref, à l'attitude indigne d'un journaliste.
Il terminera même l’interview, avec une phrase "clash" bidon, et un effet "noir et blanc", ce qui était de mauvais gout, dans ce contexte, de plus que NDA n'a pu répondre.
Je citerai un internaute: "Quand on invite une personne, on l'écoute, on la respecte, sinon, on ne l'invite pas."
Concernant Facebook, beaucoup de personnes dont les commentaires étaient courtois et bien rédigés (moi compris, à plusieurs reprises), ont vu leurs commentaires être supprimé, dans une indignation (légitime!) générale.
Le détenteur du compte "Le Grand Journal" a eu je trouve, une réaction honteuse, à l'image de la prestation de M. Denisot ce même soir.
Heureusement Nicolas Dupont Aignan est resté au long de son passage, impassible et pertinent, comme à son habitude, et on l'en remercie.
Bilan, ce fait illustre la réalité qui est que certains médias ne sont pas libre, et que pour les plus petits candidats, la tâche s'avère être d'autant plus rude.