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umps

  • Français réveillez-vous ! On vous vole votre démocratie élective !

    Élections privées UMP et PS

    La montagne UMP a donc accouché de… rien du tout !

     

    Les deux souris jumelles sont, à l’instant où j’écris ces lignes, …coincées. De même que la « primaire » du PS avait enfanté d’une souris « normale », celle de l’UMP — car c’est bien d’une « primaire » qu’il s’agit, même si les intéressés s’en défendent — va avoir besoin à minima de forceps et peut-être même —un comble en République !— d’une Césarienne.

     

    On pourrait se soucier de ces deux non-évènements comme de notre première chemise s’ils ne révélaient la présence d’un cancer qui ronge notre démocratie : celui de la captation par un petit nombre de l’espace d’information libre et pluraliste qui est dû aux Français.

     

    Ces deux élections privées, et privative de surcroît pour celle de l’UMP, ne sont en fait que de fantastiques coups de com’.

     

    Combien d’heures cumulées dans les medias audiovisuels sur toutes les chaînes TV, sur toutes les radios ont-elles été accordées aux différents protagonistes ? Combien d’articles, combien de lignes n’ont-elles pas été publiées ? Je trouve par exemple fort étrange que le CSA soit très peu loquace sur ce sujet. Car c’est son rôle après tout de veiller à une répartition juste et équilibrée des temps d’antenne. Et nous ne lui demandons pas d’édicter des règles à ce point strictes, comme lors de la campagne officielle de l’élection présidentielle, qu’au final elles réduisent la communication des « petits » à zéro. Nous serions paranoïaques que nous y verrions une intention délibérée…

     

    En plus d’une émission entière à une heure de grande écoute sur la chaîne publique France 2 dans « Des Paroles et Des Actes », combien de pseudo-débats, combien de sujets dans les journaux télévisés du midi et du soir tant sur les chaînes publiques que privées ?

    Rappelons que pour mémoire, la « primaire » du PS avait subtilisé tout l’espace médiatique durant huit mois avec la complicité évidente de l’UMP alors aux affaires.

     

    L’élection de son président a donc appelé aux urnes les 300.000 — chiffre invérifiable d’ailleurs, mais qui ne représente que 1% des inscrits sur les listes électorales de la République — électeurs-militants de l’UMP : il a bénéficié de milliers d’heures cumulées de présence médiatique.

     

    L’élection présidentielle a permis de comptabiliser près de 700.000 — chiffre officiel de la République celui-là ! — électeurs en faveur de Nicolas DUPONT-AIGNAN : il n’a eu au total cumulé que quelques minutes de présence dans les medias. Et cela continue !

     

    Pour quel gain au final dans le débat d’idées de nos concitoyens ? Aucun ! Car ces faux débats, ces fausses controverses ne portent que sur la forme, pas sur le fond, surtout pas ! Aucun des huit candidats internes de l’UMP ou du PS à leurs élections privées ne remet en cause le cadre dans lequel la France est contrainte.

     

    Alors, contre vents et marées, Debout La République continuera inlassablement de proposer à nos concitoyens une autre voie, une autre politique.

    Nous le ferons lors des trois législatives partielles dans l’Hérault, dans les Hauts-de-Seine et dans le Val-de-Marne.

    Nous le ferons lors des prochaines élections européennes où nous montrerons qu’une autre Europe est possible !

     

    Patrick Mignon
    Membre du Bureau National de DLR
    Secrétaire national aux Elections

  • Bouffons et Laquais

     

    Hier soir, dans l'émission de Canal + 'Le Grand Journal', Michel DENISOT l'animateur et son complice Jean-Michel APATHIE ont révélé leur vrai visage lors de l'intervention de Nicolas DUPONT-AIGNAN. Les masques sont tombés !

    Ils se prétendent "journalistes" ? Ce ne sont que de piètres bouffons !

    Au sens médiéval du terme. Médiéval ? Je devrais plutôt écrire archaïque pour que M. DENISOT comprenne. Médiéval, il faudrait avoir quelques connaissances pour le comprendre.

    Les bouffons du roi, lors des banquets, amusaient la galerie en usant de pirouettes physiques et verbales. Souvent, sur commande ou par complaisance servile, ils raillaient certains invités qui dès lors savaient qu'ils n'étaient plus en grâce. Sous couvert d'amusement, les messages les plus menaçants étaient délivrés.

    Certains de ces bouffons, parfois mais ils n'étaient pas les plus nombreux, prenaient des risques physiques lorsqu'ils osaient se moquer du seigneur lui-même. Par l'ironie et la fable, ils critiquaient la politique. C'est précisément ce côté "risqué" de leur activité qui leur donnait de la noblesse.

    Précurseurs de la littérature critique d'un Jean de LA FONTAINE à travers ses fables, ils étaient aussi d'une certaine façon les ancêtres des journalistes polémistes ou satiriques actuels.

    Hier soir, qu'avons-nous vu ?

    Des critiques affirmées sans être établies (APATHIE), des tentatives — gentilles — de déstabilisation (la météo de Solweig), rien que de très courant dans ce genre d'émission dont le format mêle politiques et "pipoles".

    Mais à la toute fin de l'entrevue, sans que Nicolas DUPONT-AIGNAN ne puisse répondre, DENISOT, pâle amuseur et mauvais joueur, a affirmé: "le retour au Franc serait comme le retour à la télé en noir et blanc" et puisqu'on est dans l'audio-visuel, le réalisateur a renforcé l'effet en passant effectivement à la diffusion en noir et blanc — ce qui montre en plus que cette sortie était prévue, préméditée.

    Se comportant comme les chiens de garde du système UMPS qu'ils font semblant de dénoncer, MM. DENISOT, APATHIE, le réalisateur de l'émission et la chaîne Canal + ont fait honte à la profession de journaliste.

    Journalistes ? Que nenni ! Ce sont des bouffons ! Bouffons ? Foutrecuistre, finalement pas car ils n'ont pas le courage — mot courtois pour éviter celui qui commence par la même syllabe et se termine par 'illes' — nécessaire.

    Ni journalistes, ni bouffons : ils ne sont que des laquais !

    Mais il est vrai qu'il n'y a pas de sôt métier…