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élections européennes

  • Dans un an, les Européennes 2014

    Pour toutes celles et tous ceux qui ne reçoivent pas notre Lettre d'Information


    DLR sur la voie du succès pour 2014

    Pour beaucoup d'entre nous la question européenne a été constitutive de notre engagement politique. Les problèmes de notre pays sont indissociables de la construction européenne telle qu'elle se fait depuis bientôt 30 ans. Au-delà du hold-up démocratique, nous avons, dès 1992 avec le traité de Maastricht, identifié l’impossibilité économique d’une monnaie unique sans zone économique optimale.

    Pour nous le lien entre le fonctionnement de l’Union européenne et la crise ne fait pas l'ombre d'un doute. Au fil des années les Français sont en train d'ouvrir les yeux sur cette évidence. Ils comprennent que l'Union européenne a conduit un continent entier sur la voie du déclin. Les problèmes de chômage, de délocalisation ou d'immigration sont liés directement à l’aveuglement, à l'incompétence et à l'idéologie rétrograde de ceux qui dirigent l'Union européenne. Malgré les déclarations d'amour à l'Europe des technocrates de Bruxelles, nos compatriotes savent désormais que l’Union européenne n’a rien à voir avec l’idée européenne de paix et de fraternité entre les peuples.

    Pour autant, ils ne veulent pas voir tout disparaître. La France est à l'origine de la construction européenne et il est hors de question que nous sortions – c’est d’ailleurs géographiquement un non-sens - de l'Europe. Mais nous devons la reconstruire sur de nouvelles bases et pour cela, il faut commencer par renvoyer tous ceux qui sont co-responsables de ce gâchis : l'Union européenne et les partis de gouvernement qui ont tout accepté, tout bradé, en fait tout détruit !

    Certains, à l'image des apparatchiks d'une URSS déclinante, vont affirmer que notre salut est dans une accélération vers plus de fédéralisme : toujours moins de pouvoir pour les peuples, toujours plus de pouvoir pour les hauts-fonctionnaires bruxellois, usurpateurs apatrides non élus. Sans peur du ridicule, ils vont encore tenter de nous abuser avec le mirage fantasmagorique d'une « démocratie » européenne. Ce mensonge, cette « haute trahison » des « haut-fonctionnaires » doivent être partout dénoncés, combattus, éradiqués.

    C’est pourquoi Debout la République a un rôle central à jouer pour les élections européennes de 2014. Notre opposition de longue date à l’intégration dictatoriale fait que nous ne sommes pas, comme les autres, co-responsables du bilan dramatique de ces 30 dernières années. Nous sommes les seuls à proposer un projet sérieux, viable et directement applicable pour redonner de l’air et de la hauteur à l’idée européenne. Nous sommes profondément attachés à la fraternité entre les peuples et nous serons candidats en 2014 pour reprendre à notre compte la magnifique idée européenne que les traîtres à leur pays ont prise en otage.

    Le samedi 25 mai dernier, un an jour pour jour avant le scrutin européen, DLR a lancé sa campagne. A la Bellevilloise à Paris, des leaders politiques étrangers sont venus partager la tribune avec Nicolas Dupont-Aignan. Ce lancement de campagne a été un succès et doit rappeler à chacun d’entre nous que les prochaines élections européennes seront un scrutin clef. Vous pouvez retrouver un compte-rendu complet de cette journée avec les photos et vidéos en cliquant ici.

    Cette semaine, vient de paraitre un premier sondage sur le thème des élections européennes de 2014. DLR y est déjà crédité de 3% des suffrages. Ce score de départ est exceptionnel ! Il faut comparer ce chiffre aux 1,78% que les listes DLR ont fait en 2009. Alors que DLR bénéficie d'une couverture médiatique très réduite et que nous sommes à 1 an des élections, ces 3% sont une fondation de départ qui va nous permettre de bâtir du solide au cours des prochains mois. Vous pouvez retrouver le détail de ce sondage en cliquant ici.

    De plus cet excellent sondage vient en complément de la popularité grandissante de Nicolas Dupont-Aignan dans toutes les enquêtes d’opinion. Pour rappel notre Président bénéficie de 39% d’opinions favorables dans le dernier baromètre Ifop / Paris-Match, ce qui le place devant des personnalités comme François Hollande ou Marine Le Pen.

    Pour DLR tous les voyants sont au vert. Nous avons été les premiers à lancer notre campagne. Les sondages sont très encourageants. Dès cet été nous allons partir pour un Tour de France en caravane afin d’aller à la rencontre des Français et de leur présenter notre projet pour remettre l’Europe à l’endroit.

    La voie du succès en 2014 nous est ouverte. A nous tous de continuer le travail de terrain.

    Patrick Mignon

    Membre du Bureau National de DLR
    Secrétaire National aux Élections


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  • Elections européennes 2014 - Valeurs Actuelles

     

    L'hebdomadaire Valeurs Actuelles a accepté de publier dans son n°3980 de la semaine en cours (7-13 mars 2013) un commentaire que je leur avais adressé. Qu'ils en soient remerciés ici.

    Mais mon commentaire n'a pas été publié en totalité. Il manquait les deux derniers paragraphes.

    Comme tout membre du Bureau National de Debout La République, je me dois de respecter les domaines de compétence de chacun. Mon commentaire ayant été tronqué, la partie qui en a été publiée pourrait laisser croire que je sors de ce domaine de compétence. Il n'en est rien, puisque partant des analyses et conclusions de nos spécialistes en économie, j'insiste sur l'importance des élections prochaines.

    J'ai donc décidé de publier ci-dessous ce commentaire dans sa totalité car son objet en est l'enjeu des prochaines élections européennes de 2014 et non pas le constat économique catastrophique actuel et les propositions pour y remédier.

    Dans son article "La France en faillite" (VA nº3977), Josée Pochat affirme en page 41 :"La racine du mal français se situe bien dans notre niveau de dépenses publiques, et il est vain d'espérer le résoudre en misant sur le retour de la croissance ou de nouvelles hausses d'impôts."

    S'il est incontestable que le niveau des dépenses publiques gagnerait à plus de vertu et que notre niveau actuel de prélèvements confine à l'inacceptable, je suis par contre opposé à l'idée hélas trop répandue que "l'austérité sauvera l'économie du pays". L'austérité ne fera que créer toujours plus de chômage, toujours plus de dévaluation des salaires pour s'aligner sur les moins-disants sociaux (par ailleurs largement bénéficiaires de l'Union), donc toujours moins de consommation et moins de recettes fiscales directes ou indirectes. Au lieu de diminuer nos déficits publics, l'austérité les fera exploser car les recettes diminueront plus et plus vite que les dépenses !
     
    Loin d'espérer benoîtement le retour de la croissance, notre pays peut s'en donner les moyens :
    1. en dévaluant l'euro ou en le quittant si nos "partenaires" le refuse, 
    2. en autorisant de nouveau le financement de la dette publique (pour les investissements structurels, pas pour les dépenses fonctionnelles) à taux zéro par la Banque de France comme cela était le cas avant 1973 - 50 milliards d'économies,
    3. en diminuant les charges sociales et les impôts sur les bénéfices pour les entreprises qui réinvestissent ceux-ci en totalité en France,
    4. en cessant de considérer la richesse et sa création comme le mal absolu,
    5. en cessant de confondre solidarité temporaire et assistanat permanent.
     
    Tout ceci est possible, mais il faut que les citoyens en soient informés pour qu'ils puissent le décider en conscience et se donner des responsables politiques déterminés à appliquer ces mesures de salut public, fussent-elles sources de conflit avec la structure de l'actuelle Union Européenne !
     
    Ce sera un des enjeux majeurs des élections européennes de 2014.