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Retour sur les partielles

Élections Législatives partielles

 

Nos candidats dans l’Hérault, les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne n’ont pas démérité et ont mené une campagne aussi intense que courte.

 

Pour quels résultats ?

Dans la 6ème circonscription de l’Hérault, Luc ZENON/Nadjet GRELLIER-CHABANE ont obtenu 0,86%.

Dans la 13ème circonscription des Hauts-de-Seine,  Manuel BRUN/Henri THELLIEZ ont obtenu 1,31%.

Dans la 1ère circonscription du Val-de-Marne François de GRAILLY/Denis COUVRECHEL, ont obtenu 1,57%.

 

Nous leurs adressons nos chaleureuses félicitations et les remercions de leur engagement.

 

Leurs résultats sont soit en ligne, soit en progression par rapport à ceux du premier tour de Juin 2012. Les candidats du parti au pouvoir paient les renoncements et les atermoiements du gouvernement. Le FN n’est pas en mesure de maintenir sa candidate au second tour dans l’Hérault. Quant à l’UMP, elle ne semble pas être sanctionnée par les électeurs pour le spectacle offert par ses dirigeants.

 

Mais tout ceci doit être remis en perspective de l’abstention qui a atteint des sommets !

 

Dans l’Hérault, où cette abstention est pourtant la plus faible, elle est à 58,46% ! Et dans les Hauts-de-Seine (63,25%) ou le Val-de-Marne (70,60%), ce sont deux électeurs sur trois qui ne se sont pas déplacés !

Le socle électoral restant —un électeur sur trois — constitue pour chaque formation, y compris la nôtre, le « noyau dur » sur lequel elles peuvent compter.

 

Ainsi les électeurs d’appoint ou de circonstance du PS, qui ont permis l’élection du président de la République et donné la dernière majorité institutionnelle qui lui manquait, celle à l’Assemblée Nationale, sont déjà repartis. Et dans le Val-de-Marne son candidat est éliminé après le 1er tour. Ceux de l’UMP, parce qu’il sont la base solide, n’ont pas voulu transposer au plan local la désunion du plan national. Enfin, le FN réalise des scores en progression par rapport à juin dernier, mais du fait de l’abstention —il faut obtenir un minimum de 12,5% des inscrits— n’a pu maintenir ses candidats au second tour.

 

Quand à Debout La République, force est de constater que le sursaut attendu ne s’est pas traduit dans les urnes. Les électeurs qui se sont abstenus ont sans doute estimé que le message par défaut adressé à leurs formations (UMP-UDI-PS) était suffisant sans devoir porter leur choix sur un autre candidat.

 

C’est dans ce « surplus d’abstentionnistes » qui représente 40 à 50% des inscrits que DLR doit convaincre qu’une politique différente, sociale, patriote, ferme et juste est possible et sera efficace.

Commentaires

  • La me passionne et fera dorénavant figure de référence !

  • J'aime bien votre blog, il vous laisse ce commentaire pour vous aidée à le prendre soin de à jour.

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