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  • Lettre ouverte à Olivier Duhamel

    De la "chronocratie" !

    Je ne suis pas étonné de lire sous la plume d'Olivier DUHAMEL une critique d'une des valeurs pourtant inscrite aux frontons de nos établissements publics : l' Egalité. Car c'est bien cela qu'il remet en cause.

    Je ne vois moi dans la "chronocratie" que des inconvénients propres à gêner les journalistes, les Directeurs de Publication, les patrons de presse, en tout cas, pas les lecteurs-électeurs.

    Qui est-il pour prétendre trier les "personnes qui ne représentent rien" de celles qui représentent quelque chose ? Un oligarque soucieux de protéger son groupe fermé et peut-être même tenté par la dictature de la pensée ?

    N'en déplaise à M. DUHAMEL, je saurai en tant que lecteur-électeur faire la part des choses entre les différentes candidatures. D'ailleurs, je souhaiterais lui rappeler ici que la règle des "parrainages" est là pour précisément limiter les candidatures "farfelues".

    Mais au fait, si une loi extrêmement rigide sur ces notions d'égalité d'exposition médiatique a été rendue nécessaire, n'est-ce-pas justement parce que l'équilibre, pour ne pas dire l'équité, n'a pas été respecté par ceux qui se devaient de le faire ?

    Avant de critiquer les lourdeurs de la Loi, il faudrait commencer par équilibrer spontanément les "petits" et les "gros" — et je compare à dessein une taille et un poids — afin que toutes les sensibilités puissent trouver un espace, que l'on soit ou non en période électorale.

    Voyez-vous, M. DUHAMEL, je crains que nous ne nous opposions non pas sur la notion de "chronocratie" mais sur celle de "Démocratie".

  • Moins que zéro !

    Et que le Comité des VI Nations ne joue pas les prudes !

    Il n'ignore pas que des spectateurs viennent de très loin (billets d'avion, de ferry, de train, nuit d'hôtel, etc.). Il n'ignore pas non plus que les billetteries favorisent la revente à tarif "majoré" des billets. Ainsi, plus de 50% des spectateurs qui voudraient se faire rembourser perdraient environ 65% du prix réellement acquitté par billet.

    En fait, le Comité des VI Nations, l'IRB, la FFR: tous sont complices de la mascarade car ils n'en ont rien à f..... des c... de payants !

    Regardez-bien le show à trois; ils se rejettent la responsabilité en tournant.

    Résultat ? Pas de responsable identifié mais deux "peintres" désignés : l'arbitre Monsieur PEARSON et la responsable de la Communication du Comité des VI Nations Madame CONNELLY.

    Que nul ne se méprenne, je trouve tout à fait normal de ne pas faire jouer la rencontre si le terrain est dangereux !

    Par contre, cela fait dix jours qu'il gèle à -10° et déjà pour France-Italie il avait été estimé chanceux (?) que le match soit programmé dans l'après-midi.
    Les "têtes pensantes" n'ont pas jugé utile de modifier l'horaire de ce France-Irlande ? Ben non, tous les billets sont vendus, donc on s'en tape ! Peu importe qui, quand et combien pourront voir cette rencontre qui de toutes façons aura lieu…

     

    Il n'y a effectivement pas que la température qui soit à moins que zéro !

  • Disqualifiés ! … Dehors !

    Au-delà de la polémique d'opérette qui oppose faussement les députés de l'opposition aux ministres et députés de la majorité dans l'hémicycle, je suis consterné. Comme certainement nombre de mes concitoyens.

    Quoi que l'on pense sur le fond des propos de C. GUEANT et de l'invective de S. LETCHIMY, l'existence et la forme de cette pseudo-différence montrent combien ces "dépités" et ces "sinistres" (pour paraphraser COLUCHE) sont éloignés des préoccupations des citoyens. Ils nous révèlent leurs vrais visages.

    Point de surprise d'ailleurs. Ce sont les mêmes qui ont violé en conscience le vote clair et sans appel du peuple français exprimé lors du référendum sur le Traité Constitutionnel Européen. Cela fait trois longues années qu'ils ont commis cette forfaiture, ce "coup d'état simplifié" comme le dit très clairement Nicolas DUPONT-AIGNAN ; cela fait trois ans qu'ils usurpent les mandats qui leurs ont été confiés.

    Mais quelle indécence que d'occuper l'espace et le temps pour rien quand la survie de notre nation est menacée, quand la soumission du chef de l'Etat à la chancelière allemande est tous les jours plus évidente, quand on meurt de faim et de froid en France, quand on brade notre industrie, qu'on délocalise un million d'emplois en dix ans et qu'on se réjouit de réussir malgré tout à gagner de l'argent sur le dos des nouveaux esclaves !

    Alors ces pantins, ces minus, ces minables — comme le dit le poète CABREL dans "La Corrida" — j'espère bien qu'en juin prochain nous les ferons "dormir sur leurs deux oreilles" !